[RP] Fin de soirée en compagnie d'Elzévir

Nous sommes le 6 juillet, la soirée passée en compagnie de ma semblable fut délicieuse. Au cours de ces quelques heures, elle m'a proposé de m'initier à certaines subtilités de la pavane.

"Ma très chère Elzévir, tu m'as proposé tout à l'heure de m'enseigner certaines choses sur ce que je suis. Je t'avoue que mes repères sont encore fragiles et que je suis plus que curieux d'en apprendre davantage sur mon peuple ..."

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[RP] Fin de soirée en compagnie d'Elzévir Avatareelzvir

Dans l'appartement d'Elzévir, règne l'odeur de la pourriture, de putréfaction, des pot pourris.. vraiment pourris dégagent des relents nauséabond qui ne semble pas l'incommoder outre mesure. Des bouquets de roses rouge fanées égrainent leur lambeaux de fleure sanglant sur le sol et les guéridons d'époque. La rousse flamboyante, vêtue de lingeries fines laissant sa nudité apparente, est allongée avec volupté sur son grand lit au dessus rouge carmin. Les fenêtre sont fermée par des volet de bois, qui laissent filtré de maigres rayons de lumière que crache a intervalle régulier le panneau publicitaire d'une pharmacie, striant la pièce de raie alternativement rouge puis verte.

Elle commence a chanté d'une voix douce et envoutante produisant d'étranges sons pour l'oreille non avertie. Rentrant dans l'écoute le selenim peut entendre que le chant s'accorde parfaitement avec la pavane locale, enrichissant d'harmonique subtil la musique maudite.
Sans autre but apparent que le simple plaisir de s'unifier a la pavane, elle s'adonne quelques minutes a ce plaisir. Puis elle se tait, laissant le jeune sélénim profité des dernières résonances de son chant.

Puis reprenant un air plus sérieux, elle semble se renfermé sur elle même. Au même moment se dédouble d'elle une femme aux aspect fantomatique une sorte d'ectoplasme blanchâtre au forme precises d'une jolie femme a la peau diaphane, parcouru sous l'épiderme d'une infinité de vers et asticots de toute sorte. Malgré l'horreur de la chose elle est relativement attirante.

Jeune frère, avant de te parler de ce que tu ne connais pas ou ne comprends pas, il faudrait déjà que tu me dise se que tu sais de toi, de la facon dont tu te perçois et de ton apprehension de ce nouvel univers. Notre histoire tu la decouvrira est emplie d'hypothese et de conjecture de frere sollitaire, qui ont, part leur vie, chercher a expliquer la notre. Ainsi donc je te dirai que comme certain auraient pu dire... "tout est subjectif".

Elle fut prit d'un petit rire désolé faussement empreint d'empathie.